Akuma ne savait pas par où commencer…La terre était si vaste, où pourrais t’il aller pour commencer ses recherches? L’aube venait d’apparaître et Akuma devait reprendre sa forme humaine, pour ne pas se faire remarquer. Il devait trouver un coin aussi tranquille que la façon dont il le trouvera, pour ne pas attirer les regards indiscrets…Il partit donc vers la lisière de la forêt et réfléchit un instant avant de s’y engouffrer. Une fois à l’intérieur, il trouva une cabane d’enfant abandonné, tout de moins si elle avait déjà été habitée… Il y entra donc avec difficultés, malgré que la cabane relativement spacieuse, il devait y passer ses ailes et sa queue. Une fois à l’intérieur, il se concentra une petite minute, puis son teint pris une couleur de plus en plus beige. Ses ailes rétrécirent et sa queue fit de même. Les yeux d’Akuma perdirent leur rougeur et ses cicatrices de même. Les poils de ses jambes se rétractèrent dans sa peau et ses pied de bous prirent la forme d’un pied humain. Tous ces processus continuèrent lentement. Quand tout à coup, Akuma entendit un bruit dehors. Soit c’était un animal, dans ce cas, aucun danger présent. Mais si ce bruit venait d’une action humaine, Akuma était, comme on pouvait dire, dans le pétrin. Il bougea difficilement la tête et vit un enfant accompagné d’une personne âgée. Akuma fini sa mutation, mais il était privée de ses mouvements pendant 5 minutes, et si il était repérée dans cette état et que les humains appellent les urgences, il serait bien immobilisé pendant une semaine à l’hôpital. Malheureusement pour Akuma, le début de ses pensés arrivèrent. Le petit garçon, évidement intéressé par la cabane, pénétra dedans pour s’amuser, et trouva Akuma par terre. Il appela son grand père, qui fut surpris de voir Akuma par terre. Il prononça alors ces mots :
-Eh bah dit dont, qu’est-ce que tu fais dans une cabane à ton âge…En plus tu ne bouge même pas…tu dois avoir un problème. Je vais t’emmener chez moi, ma femme a des médicaments.
Akuma ne pouvait pas désapprouver, vu qu’il était privée de ses mouvement, et donc de la parole. Il fut donc transporté par la personne âgée qui, pour son âge, avait l’aire bien en forme…